Jay Jay Johanson – Victoire 2 – 25 Novembre 2011

Le genre d’ambiance où il faut arriver à entrer…
La première partie était assurée par la jolie Lise. Une demoiselle touchante de timidité, avec un joli brin de voix, un piano, des clochettes et des chants d’oiseaux préenregistrés.Pas désagréable, mais, pour ma part, l’influence de Bjork et d’Emilie Simon était trop marquée, j’ai eu du mal à entrer dans son univers. Dommage, mais un joli potentiel tout de même, il se pourrait bien qu’avec un peu plus de maturité la mignonne Lise arrive bientôt à nous surprendre..
Jay Jay Johanson a , lui, réussi en trois morceaux à m’embarquer dans son monde, aux confins du jazz et du trip hop, appuyé par un pianiste et des tintements, cliquetis et autres gratouillis électroniques. Tout dans la retenue et la sobriété, avec des éclairages simples, et quasi immobile. Et surtout cette voix si particulière, limite venue d’un autre temps, et particulièrement bien desservie par l’acoustique exceptionnelle de Victoire 2.
Le public ne s’y est pas trompé, et, alors qu’un silence religieux se faisait pendant qu’il chantait, c’était de véritables salves d’applaudissements qui résonnaient après chaque morceau.
Un très joli moment, hors du temps, qui personnellement m’a laissé avec un sourire à la fois nostalgique et béat…
Jay Jay Johanson a , lui, réussi en trois morceaux à m’embarquer dans son monde, aux confins du jazz et du trip hop, appuyé par un pianiste et des tintements, cliquetis et autres gratouillis électroniques. Tout dans la retenue et la sobriété, avec des éclairages simples, et quasi immobile. Et surtout cette voix si particulière, limite venue d’un autre temps, et particulièrement bien desservie par l’acoustique exceptionnelle de Victoire 2.
Le public ne s’y est pas trompé, et, alors qu’un silence religieux se faisait pendant qu’il chantait, c’était de véritables salves d’applaudissements qui résonnaient après chaque morceau.
Un très joli moment, hors du temps, qui personnellement m’a laissé avec un sourire à la fois nostalgique et béat…